Didier LEDENT, Claude-Noële PICKMANN
Avec la participation de Pierre BRUNO, Gisèle CHABOUDEZ, Patrick DE NEUTER, Olivier DOUVILLE, Marc DUBOIS, Claire FRONVILLE, Monique LAURET, Anouk LEPAGE, Chalva MAMINACHVILI, Marie-Hélène MANSART, Marie-Pierre MANSUY, Erik PORGE, Jacques SEDAT, Nicole STRYCKMAN, Isabelle TAVERNA, Marie-Claude THOMAS, Markos ZAFIROPOULOS
Si la notion de sublimation semble quelque peu devenue obsolète dans le champ de la psychanalyse, Freud comme Lacan n’y sont pas pour rien. Car, pour l’un comme pour l’autre, la notion se tarit au fil de leur élaboration. Et si elle s’efface, c’est au profit du symptôme, comme s’il avait fallu du temps à l’un comme à l’autre pour reconnaître dans le symptôme le trait de l’humain, bien mieux que dans la sublimation. Que devient, alors, l’acte sublimatoire que ce constat n'invalide pas pour autant ?