Avec la participation de Nathalie AOUSTIN, Michel BOUSSEYROUX, Isaure BOUSSEYROUX, Didier CASTANET, Sylviane CERNOIS, Monique DESORMEAUX, Xavier DOUMEN, François DUTRAIT, Dominique FINGERMANN, Anne FOURCADE-JOURDAIN, Luis IZCOVICH, Marie-José LATOUR, Serge LAZARO, Pascale LERAY, Dominique MARIN, Albert NGUYEN, Éliane PAMART, Jacqueline PATOUET, Marc STRAUSS, Axel TUFFERY, Véronique VIALADE MARIN
Il ne va pas de soi de l’analyse ait une fin. Freud a posé le problème de l’analyse interminable. Le déchiffrage de l’inconscient peut en effet être sans fin, sans principe d’arrêt. Lacan a néanmoins pensé l’analyse comme pouvant prendre fin, avoir un terme, une issue. Il a également pensé cette fin par rapport à la passe, comme moment du passage à l’analyste. Mais il y a eu des bougés dans cette conception lacanienne de la passe et de la fin. Quelles sont les différentes façons, chez Lacan, de penser la fin de l’analyse ?